C’est le genre d’albums où il n’y a pas une chanson où je veux passer à la suivante, où elles me rentrent toutes dedans à 100 miles à l’heure, et me font bouger de tout bord tout côté. Je fais allusion ici à “Rust in Peace” de Megadeth.

Je me souviens avoir reçu, de Maison Columbia, la cassette de ce groupe que je ne connaissais pas du tout, de l’avoir mise dans mon baladeur Toshiba “auto-reverse”, et ne pas l’avoir retirée durant des semaines durant.

Comme je disais, je ne connaissais pas ce groupe, je n’avais encore aucune idée de l’historique que Dave avait avec Metallica, et les gars qui m’impressionnaient vraiment alors étaient Marty Friedman, avec sa façon particulière de tenir son pic de guitare, comme s’il avait le poignet coincé à 90 degrés. Et puis Nick Menza, avec ses airs, un peu, d’homme de Cro-Magnon, se démenait comme s’il n’y avait pas de lendemain, mais quand j’entendais le produit final, j’étais tout simplement estomaché.

Par la suite, et bien j’ai bien sûr enfilé les autres albums comme “Peace sells…”, “So Far…”, et les autres qui ont suivis avec Marty & Nick, mais un peu comme ce fut le cas après l’album Noir de Metallica, l’intérêt s’est dissipé. Mais il n’en demeure pas moins que peu importe le moment ou l’occasion, si une pièce de cet album me tombe dans les oreilles, je tombe assurément dans un état de bien-être… Ou bien je me mets à courir vraiment trop vite !

Il y a de ces albums ! — Rust in Peace

MK007


Je suis le Superhéros de ma vie ! / Je ne m'ennuie jamais ! / Un tien vaut mieux que deux tu l'auras !


Post navigation


Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *